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4 décembre 2011

Sept faits affligeants sur Time Out (Andrew Niccol)

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1. Justin Timberlake commence à se prendre au sérieux.

2. Andrew Niccol avait promis qu'il maîtrisait le genre avec Bienvenue à Gattaca.

3. Deux heures qui ont apparemment coûté 40 millions de dollars, jolie mise en abîme d'un scandale et de ce que nous sommes amenés à dépenser (temps et argent) pour voir cette merde, et sans réellement aborder le temps, en termes de narration, de mise en scène, de durée de plan, de rien.

4. L'idée de base n'est qu'un prétexte pour se projeter dans un monde dont Niccol s'amuse simplement à énumérer les règles, se frottant les mains de satisfaction, pour aboutir au même rendu anti-capitaliste qu'un film sur le fric et au même nanar d'action lourdingue que les nanars d'action lourdingues.

5. Un prétexte et une excuse :  la voix-off de Timberlake à l'ouverture qui nous susurre "Pas le temps de me demander comment on en est arrivé là". Franchement dommage, peut-être serions-nous allés un peu plus loin dans la soi-disant réflexion que Time out prétend développer.

6.  Amanda Seyfried refuse de dépenser un peu de son temps pour s'acheter des baskets une fois qu'il devient nécessaire de courir, c'est pas un affront ça ? Comment parler d'un ralliement à la cause tant qu'elle ne lâche pas ses talons ?

7.  La structure de ce film ouvre inévitablement la porte vers une suite...

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